Dancing in the Studio
10.02.17 › 15.04.17
Pedro Barateiro
Contre-mesure
08.03.14 › 26.04.14
A is a name
Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite
28.11.13
Juliacks
17.06.11 › 23.07.11
Simon Bergala
Dancing in the Studio
10.02.17 › 15.04.17
Pedro Barateiro
A travers ses différentes œuvres (vidéos, peintures, sculptures, poèmes, performances, livres, etc..) témoignant d’un intérêt pour les images et les récits de résistance, Pedro Barateiro aborde notamment la lecture de l’occident aujourd’hui, dans son présent néocolonial, ainsi que les relations et la circulation entre la politique et la fiction, le corps et le corps politique, l’oralité et le commentaire.
L’artiste portugais présente chez Néon quelques pièces réalisées entre 2010 et 2017. Cet ensemble s’organise dans l’espace selon quelques principes géométriques et psychologiques, s’épanouit dans une série d’actions qui semblent cristallisées et amplifiées, Dancing in the Studio (Protest), donnant en partie son titre à l‘exposition. Or symétries, spirale, colère et désir sont tout aussi invoqués dans chaque pièce de l’exposition. Chacune d’elles nous convie d’ailleurs à ces jeux de miroirs, nous laissant effleurer mise en abyme, anthropologie de nous-mêmes et phénoménologie hégélienne.
Contre-mesure
08.03.14 › 26.04.14
A is a name
A is a name est le résultat de l’association de deux designers graphiques, Jérémie Nuel et Simon Renaud, dont les recherches plastiques sont axées principalement autour d’agencements et de systèmes de signes typographiques. Ils proposent pour les façades de Néon un étonnant diptyque, dont le point de départ est la déconstruction et la reconstruction créative de l’élément de base de l’image digitale, le pixel, et tentent de revenir à son abstraction. Faisant une place de choix au bug informatique, ils nous laissent ainsi sur un paradoxe graphique et sémiologique : la conception d’objets coincés dans l’impossibilité de délivrer un message et, par extension physique, dans un espace qui parait impossible à pénétrer. Par ailleurs, le titre de l’exposition, Contre-mesure, fait référence au terme militaire désignant l’action destinée à rendre inefficaces les armements ennemis, à l’instar du brouillage de système radar.
Partenaires : Mademoiselle Major (Lyon)
Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite
28.11.13
Juliacks
avec la participation de Jake Burton, Vanessa Bonnet Delmont, Raphæl Defour, Jean-Louis Delorme et Benoît Pallandre
Dans le cadre de sa résidence chez Néon, Juliacks propose un événement intitulé Winnipeg
whistles infinite, une installation participative mêlant film et performance.
Cette installation et performance a également été l’occasion de produire quelques enregistrements sonores et visuels qui ont permis à Juliacks de finaliser le tournage d’Architecture d’un atome. C’est un morceau de l’histoire.
Partenaires : Biennale d’Art Contemporain de Lyon
17.06.11 › 23.07.11
Simon Bergala
Intéressé par une conception de la peinture à la fois vitaliste et préoccupé de questions politiques ou historiques, le travail de Simon Bergala cherche à confronter les réalités urbaines actuelles à l’idéal de la cité, de l’espace public, au travers de tableaux à la picturalité affirmée.
Tantôt cartographique, tantôt figurative, cette peinture intègre des éléments qui insistent sur la spécificité de l’espace pictural : motifs redoublant les limites du châssis, perspective empirique, tuyaux circulant sur les bords et les angles du tableau. Ces villes colorées sont empruntes d’une poésie teintée d’humour où la bande dessinée, le graffiti rencontrent des représentations lointaines, comme l’évoque la série intitulée Caduveo et Bororo, du nom de tribus d’Amazonie rendues célèbres par les études de Claude Lévi-Strauss.
www.chateauroux-metropole.fr/les-beaux-arts/residence-d-artistes-556.html
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : exposition Dancing in the Dtudio, 2017. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017.
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : Systems and Fingers, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : Systems and Fingers, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : exposition Dancing in the Dtudio, 2017. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017.
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin, Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm, Dancing in the Studio (Protest), 2016, MDF, ciment, vernis, impression numérique sur Dos bleu, 176x246cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin, Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems (détail), 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems (détail), 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm, Dancing in the Studio (Protest), 2016 – MDF, ciment, vernis, impression numérique sur Dos bleu, 176x246cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue du bureau : Geometria e Exotismo, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue du bureau : Geometria e Exotismo, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de la montée d’escalier : Rumour Workers Hat et Change the Algorithm, images issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de la montée d’escalier : Rumour Workers Hat et Change the Algorithm, images issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’, Rumor Bench IV, 2017, MDF, bois, ciment, vernis, 143x32x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Today our eyes are closed, 2010, film 16mm converti en vidéo, noir et blanc, son, 10’13’’ (et Currency, currency, 2016, animation vidéo, couleur, son, 5’55’’), Rumor Bench IV, 2017, MDF, bois, ciment, vernis, 143x32x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’, Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, à gauche : Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, à droite, vue des toilettes : Duvida Press Book Cover, images issues du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
A is a name, BSoD, 2014, peinture sur trois panneaux OSB, 170x400cm chacun. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2014.
A is a name, BSoD, 2014, peinture sur trois panneaux OSB, 170x400cm chacun. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2014.
A is a name, BSoD, 2014, peinture sur trois panneaux OSB, 170x400cm chacun. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2014.
Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2014.
Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2014.
A is a name, 5xx, 2014, 2014, poster, offset, 60x80cm. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Néon, 2014.
A is a name, 5xx, 2014, 2014, poster, offset, 60x80cm. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Néon, 2014.
A is a name, 5xx, 2014, 2014, poster, offset, 60x80cm. Vue de l’exposition Contre-mesure, Néon, Lyon, 2014. Photo : Néon, 2014.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Juliacks, Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, 2013, performance, vidéo. Vue de l’évènement Architecture d’un atome : Winnipeg whistles infinite, Néon, Lyon, 2013. Photo : Néon, 2013.
Simon Bergala, Barnum (détail), 2011, peinture à l’huile toile de barnum tendue sur châssis, 290x240x30cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Barnum, 2011, peinture à l’huile toile de barnum tendue sur châssis, 290x240x30cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Barnum (détail), 2011, peinture à l’huile toile de barnum tendue sur châssis, 290x240x30cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
(De gauche à droite) : Simon Bergala, Sans titre, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm, Tiger Oil and Shutter, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm, Unbefestigte Strasse, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Begala, Unbefestigte Strasse, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Tiger Oil and Shutter, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Sans titre, 2011, peinture à l’huile sur rideau, 210x100cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, City shell 3, 2009, peinture à l’huile sur toile, 230x220cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, City shell 3, 2009, peinture à l’huile sur toile, 230x220cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Sans titre, 2011, peinture à l’huile sur blouson tendu sur châssis, 40x80cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Sans titre, 2011, peinture à l’huile sur T-Shirt tendu sur châssis, 40x80cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Sans titre (le rêve), 2010, peinture à l’huile sur T-Shirt tendu sur châssis, 40x80cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Isolat, 2010, peinture à l’huile sur T-Shirt tendu sur châssis, dimension variable, ici : 70x45cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Caduevo et Bororo, 2010, peinture à l’huile sur bâche imprimée sur châssis, dimension variable, ici : 200x260cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.
Simon Bergala, Caduevo et Bororo (détail), 2010, peinture à l’huile sur bâche imprimée sur châssis, dimension variable, ici : 200x260cm. Vue de l’exposition de Simon Bergala, Néon, Lyon, 2011. Photo : JAC / Néon.