No More…
22.12.2017 › 21.03.2018
Damir Radović
Dancing in the Studio
10.02.17 › 15.04.17
Pedro Barateiro
No More…
22.12.2017 › 21.03.2018
Damir Radović
No More… est un poème, une élégie en quelques sortes qui se déploie dans l’espace urbain, basée sur la répétition. Cette répétition et le choix des mots qui suivent, paraissent souvent absurdes, parfois inconfortables, et malgré l’apparence de slogan inachevé chacune des phrases n’a rien à vendre ni à revendiquer, ensemble elles nous interrogent simplement sur notre environnement et notre mémoire collective ou personnelle.
Damir Radović est né à Sarajevo en 1976, il fut obligé de migrer en France à l’âge de 17 ans pendant les guerres de Yougoslavie des années 90, il vit désormais en partie en France.
Partenaires : Biennale d’Art Contemporain de Lyon, Champagne Façade, Cabinet Berne, Fertoret-Coppier
Dancing in the Studio
10.02.17 › 15.04.17
Pedro Barateiro
A travers ses différentes œuvres (vidéos, peintures, sculptures, poèmes, performances, livres, etc..) témoignant d’un intérêt pour les images et les récits de résistance, Pedro Barateiro aborde notamment la lecture de l’occident aujourd’hui, dans son présent néocolonial, ainsi que les relations et la circulation entre la politique et la fiction, le corps et le corps politique, l’oralité et le commentaire.
L’artiste portugais présente chez Néon quelques pièces réalisées entre 2010 et 2017. Cet ensemble s’organise dans l’espace selon quelques principes géométriques et psychologiques, s’épanouit dans une série d’actions qui semblent cristallisées et amplifiées, Dancing in the Studio (Protest), donnant en partie son titre à l‘exposition. Or symétries, spirale, colère et désir sont tout aussi invoqués dans chaque pièce de l’exposition. Chacune d’elles nous convie d’ailleurs à ces jeux de miroirs, nous laissant effleurer mise en abyme, anthropologie de nous-mêmes et phénoménologie hégélienne.
Damir Radović, No More…, 2017 – banderoles imprimées – Dimensions variables, ici : 14 pièces, 70x500cm chacune. Vue de l’exposition, No More…, Néon, Lyon, 2017. Photo : Anne Simonnot, 2017.
Damir Radović, No More…, 2017 – banderoles imprimées – Dimensions variables, ici : 14 pièces, 70x500cm chacune. Vue de l’exposition, No More…, Néon, Lyon, 2017. Photo : Anne Simonnot, 2017.
Damir Radović, No More…, 2017 – banderoles imprimées – Dimensions variables, ici : 14 pièces, 70x500cm chacune. Vue de l’exposition, No More…, Néon, Lyon, 2017. Photo : Anne Simonnot, 2017.
Damir Radović, No More…, 2017 – banderoles imprimées – Dimensions variables, ici : 14 pièces, 70x500cm chacune. Vue de l’exposition, No More…, Néon, Lyon, 2017. Photo : Anne Simonnot, 2017.
Damir Radović, No More…, 2017 – banderoles imprimées – Dimensions variables, ici : 14 pièces, 70x500cm chacune. Vue de l’exposition, No More…, Néon, Lyon, 2017. Photo : Anne Simonnot, 2017.
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : exposition Dancing in the Dtudio, 2017. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017.
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : Systems and Fingers, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : Systems and Fingers, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de l’extérieur : exposition Dancing in the Dtudio, 2017. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017.
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin, Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm, Dancing in the Studio (Protest), 2016, MDF, ciment, vernis, impression numérique sur Dos bleu, 176x246cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin, Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems, 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems (détail), 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Relaxed Systtems (détail), 2017, Porte – manteau, acrylique et encre de Chine sur lin. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Rumor Bench III, 2017, MDF, bois, ciment, vernis – 228x50x45cm, Dancing in the Studio (Protest), 2016 – MDF, ciment, vernis, impression numérique sur Dos bleu, 176x246cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue du bureau : Geometria e Exotismo, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue du bureau : Geometria e Exotismo, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de la montée d’escalier : Rumour Workers Hat et Change the Algorithm, images issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, vue de la montée d’escalier : Rumour Workers Hat et Change the Algorithm, images issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’, Rumor Bench IV, 2017, MDF, bois, ciment, vernis, 143x32x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Today our eyes are closed, 2010, film 16mm converti en vidéo, noir et blanc, son, 10’13’’ (et Currency, currency, 2016, animation vidéo, couleur, son, 5’55’’), Rumor Bench IV, 2017, MDF, bois, ciment, vernis, 143x32x45cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, de gauche à droite : Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’, Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, image issue du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, à gauche : Demonstration Against Nuclear Power in Lisbon 1980’s, à droite, vue des toilettes : Duvida Press Book Cover, images issues du tumblr The Sad Savages, 2012-…, impression numérique, 60x40cm, chacune. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).
Pedro Barateiro, Prova de Resistência (Epreuve d’endurance) (détail), 2012, texte, une (ou deux) personne(s), un microphone avec pied et amplification. approx. 15’. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2017. Courtoisie Galerie Filomena Soares, Lisbonne (Portugal).