Clovis Carnival Conspiracy, Act II
05.09.2015 › 07.11.2015
Jonas Delaborde
Blind Lemon
20.04.13 › 25.05.13
Sébastien Maloberti
Points Noirs
25.11.10 › 04.12.10
Olivier Morvan
Clovis Carnival Conspiracy, Act II
05.09.2015 › 07.11.2015
Jonas Delaborde
Seconde partie d’un dyptique dont la première fut jouée à Tlön, Nevers, en 2014, Clovis Carnival Conspiracy, act II trouve sa genèse à Rio de Janeiro, où l’artiste Jonas Delaborde, (né en 1981, France) passe plusieurs mois en résidence. Résultant d’un télescopage improbable entre architecture brésilienne, science fiction et Bate Bola (carnaval officieux des quartiers populaires), l’exposition nous entraine dans un scénario extra lucide, peuplé de conspirateurs. Un film d’une dizaine de minutes, Clovis Carnival Conspiracy (2015), semble fonctionner comme un foyer et irradie l’exposition de divers éléments de décor, costumes et accessoires.
Partenaires : Biennale d’Art Contemporain de Lyon – Broadcast Posters (Lyon) – Tlön (Nevers)
Blind Lemon
20.04.13 › 25.05.13
Sébastien Maloberti
Tools of blues : Le terme blues vient de l’abréviation de l’expression anglaise blue devils (« diables bleus »), qui signifie « idées noires ». Les plus anciennes formes de blues proviennent du Sud des États-Unis, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Ces formes étaient le plus souvent orales, accompagnées parfois par un rythme donné par des instruments rudimentaires. C’est principalement dans les champs de coton de la région du delta du Mississippi (entre Senatobia et Clarksdale) que ces formes prennent des tours plus complexes. L’une des formes antérieures au blues est le Fife and Drums joué dans la région Hill Country du Mississippi (il s’agit d’un ensemble de percussions guidé par un fifre en bambou, instrument que jouait le maître en la matière, Othar Turner). Il y eut d’autres formes de blues avec des instruments rudimentaires, le diddley bow, une corde fixée sur une planche, le jug, cruchon en terre dans lequel on soufflait. Puis le blues a évolué avec des instruments simples, tels que la guitare acoustique, le piano et l’harmonica. La légende raconte que l’un des guitaristes bluesmen, Robert Johnson, aurait signé un pacte avec le diable ce qui lui aurait permis de devenir un virtuose du blues (blue devils : c’est une musique liée aux forces maléfiques qui était fuie et rejetée par beaucoup de personnes aux États-Unis).
Points Noirs
25.11.10 › 04.12.10
Olivier Morvan
« Le projet Escapologique élaboré par Olivier Morvan est une entreprise labyrinthique dont les ramifications sans cesse renouvelées s’entremêlent. Un projet dont le sens, comme son nom l’indique, nous échappe. Pouvant être considéré à la fois comme une parodie de série policière, une pièce dont vous êtes le héros, une société secrète, une fabulation, un rêve ou encore un cauchemar, ce projet revêt plusieurs identités sans qu’aucune ne parviennent à le définir pleinement. Construit à partir d’un vide, d’une absence, en périphérie de celui-ci, Le projet Escapologique se joue des attentes du spectateur, tout en questionnant notre éternelle quête de sens. »
Annie Hudon Laroche, 2009
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec du premier au second plan : Talyn Column, 2014, plastique, MDF, aluminium, 36x36x100cm, Laranjeiras Worm – wallpaper version, 2015, posters, Broadcast Posters, 2015, dimensions variables, ici : 460x725cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec de gauche à droite : The Farscape derived detail – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets – 117,5x154cm, Saída da Turma Cobra – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets, 154×117,5cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec de gauche à droite, The Farscape derived detail – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets, 117,5x154cm, Saída da Turma Cobra – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets, 154×117,5cm, Brise-Soleil Olmèque, 2015, mortier, 199x126x17cm. Table et chaise de jardin, Wolverine patron, 2015, impression sur papier, œillets, 50x50cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, 2015, vidéo HD, couleur, son, 11 minutes présenté dans Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec : Moveis Cardinal Conspiracy – Pompéi version, 2015, MDF, bois de coffrage, métal, mortier, téléviseur, lecteur multimédia, 107,5x200x25cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec de gauche à droite : Masques de Bate Bola, tissu, plastique, plumes synthétiques, 20x30x9cm et 30x45x13cm, Commissariat de Pipas, 2015, cerfs-volants, emballages plastique, 35x35x4cm et 50x50x4cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables : Commissariat de Pipas, 2015, cerfs-volants, emballages plastique, 35x35x4cm et 50x50x4cm Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec de gauche à droite : Masques de Bate Bola, tissu, plastique, plumes synthétiques, 20x30x9cmet 30x45x13cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables avec de haut en bas : Eléments de costumes des groupes União de Realengo et Eternos, tissu, plastique, plumes, mousse, peinture, a : 130x85x100cm, b : 50x65x22cm, c : 85x95x34cm, d : 120x170x49cm, The Farscape derived detail – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets – 117,5x154cm, Saída da Turma Cobra – polar version, 2014, impression numérique sur laine polaire, œillets, 154×117,5cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables : Eléments de costumes des groupes União de Realengo et Eternos, tissu, plastique, plumes, mousse, peinture, a : 130x85x100cm, b : 50x65x22cm, c : 85x95x34cm, d : 120x170x49cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables : Eléments de costumes des groupes União de Realengo et Eternos, tissu, plastique, plumes, mousse, peinture, 50x65x22cm. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Jonas Delaborde, Clovis Carnival Conspiracy, act II (détail), 2015, divers matériaux, objets, dimensions variables. Vue de l’exposition Clovis Carnival Conspiracy, act II, Néon, Lyon, 2015. Photo : Anne Simonnot / Néon, 2015.
Sébastien Maloberti, Tools of Blues, 2013, acier laqué, bois, papiers et corde à piano, dimensions variable. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Tools of Blues, 2013, acier laqué, bois, papiers et corde à piano, dimensions variable. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
(De gauche à droite) : Sébastien Maloberti, Tools of Blues, 2013, acier laqué, bois, papiers et corde à piano, dimensions variable, A walk in, 2013, résine et colorants sur bois, 42×30 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
(De gauche à droite) : Sébastien Maloberti, sans titre, 2013, mur placoplâtre découpé, 200×90 cm, Monarch / castle of missing men, 2013, peinture sur acier, 340×240 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
(De gauche à droite) : Sébastien Maloberti, sans titre, 2013, résine, peinture spray et gravure sur bois, 42×30 cm, Lost in Chakigo (détail), 2013, résine acrylique et encre sur acier laqué, dimension 112 x 76 cm, sans titre, 2013, mur placoplâtre découpé, 200×90 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Beale street, 2013, résine acrylique et encre sur acier laqué, 212×132 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
(De gauche à droite) : Sébastien Maloberti, Lost in Chakigo (détail), 2013, résine acrylique et encre sur acier laqué, dimension 112 x 76 cm, sans titre, 2013, mur placoplâtre découpé, 200×90 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
(Du premier au second plan) : Sébastien maloberti, sans titre (détail), 2013, mur placoplâtre découpé, 200×90 cm, Big Ol’ / Dixie (détail), 2013, résine acrylique, encre et peinture spray sur acier laqué, 38×56 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Big Ol’ / Dixie (détail), 2013, résine acrylique, encre et peinture spray sur acier laqué, 38×56 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Lost in Chakigo, 2013, résine acrylique et encre sur acier laqué, dimension 112 x 76 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Lost in Chakigo, 2013, résine acrylique et encre sur acier laqué, dimension 112 x 76 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, A walk in, 2013, résine et colorants sur bois, 42×30 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Big Ol’ / yellow, 2013, impression numérique sur papier, 90x125cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Pierre Gaignard / Néon.
(De gauche à droite) : Sébastien Maloberti, Small city, 2013, résine acrylique, peinture spray et découpe sur bois, 32×38 cm, The 30th song, 2013, résine acrylique, encre et peinture spray sur acier laqué, 56×76 cm, Big Ol’ / yellow, 2013, impression numérique sur papier, 90×125 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Sébastien Maloberti, Big Ol’ / yellow, 2013, impression numérique sur papier, 90x125cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Pierre Gaignard / Néon.
Sébastien Maloberti, Small city, 2013, résine acrylique, peinture spray et découpe sur bois, 32×38 cm. Vue de l’exposition Blind Lemon, Néon, Lyon, 2013. Photo : Clémence Bachat / Néon.
Olivier Morvan, Appel, 2010, sérigraphie à 60 exemplaires numérotés et signés, 102x70cm. Vue de l’exposition Points Noirs, Néon, Lyon, 2010. Photo : JAC / Néon, 2010.
Olivier Morvan, Citadelle, 2007, dessin sur papier, 105x70cm. Vue de l’exposition Points Noirs, Néon, Lyon, 2010. Photo : JAC / Néon, 2010.